Les fraudes fiscales commises par le personnage en question étaient si criantes et si massives qu'il a bien fallu le condamner. Ce fut, quelque part, la mort dans l'âme que les juges ont fini par infliger à Berlusconi un an de prison. Mais voilà, on ne va tout de même pas mettre les fers aux pieds à un VIP de cette importance. Alors, on lui a gentiment aménagé sa peine : il va passer son temps de punition en activité d'intérêt général. En l'occurrence, se mettre, une demi-journée par semaine, au servive des vieux d'un hospice ou d'une maison de retraite. Vous voyez d'ici le tableau ! Mais, passons. Vous vous appelez Dupond (ou Dupont) et vous vous faites piquer à voler : illico, c'est la taule ! Vous êtes VIP, c'est une autre histoire. Surtout, si vous grenouillez dans le monde politique. Faut alors avoir tué père et/ou mère pour enfiler enfin l'uniforme du pénitencier. Et encore ...