L'impossible est arrivé. Poutine a envahi l'Ukraine. C'est la guerre. Un mot qui, chez nous, reste un mot, mais qui, là-bas, se traduit par du sang, des morts, de la douleur et des souffrances. le pire étant que notre situation d'infériorité militaire (je parle de l'Europe) nous interdit d'agir et d'empêcher que soit perpétré ce crime contre l'humanité. Et qu'on ne se méprenne pas, ce ne sont pas les sanctions prises à l'encontre de la Russie qui changeront un iota dans les décisions du Kremlin. Le monde est soumis à la loi du plus fort. C'est comme ça. La difficulté pour un assoiffé du pouvoir, c'est d'arriver au sommet. Ensuite, il s'y tient et fait régner sa loi. Toujours totalitaire. Courbons l'échine, mes frères. Encore un peu, et les démocraties auront vécu. Dommage ! C'était une belle idée...
L'hébergeur de mon blog est encore une fois en panne.. El l'envie me titille de revenir sur over-blog. Même s'il me faut faire l'effort de payer une redevance pour en éliminer la pub. Si ce texte vous paraît lisible et doté d'une image, c'est que j'aurai réussi à me re-familiariser avec la gestion d'un écrit. Revenir ici, ne pas y revenir, that's the question ...
Mon serveur est encore en panne. Je me demande si je ne vais pas revenir ici. Je suis évidemment toujours allergique à la pub. Il faudrait donc et alors que je fasse l'effort de payer pour la faire disparaître de mon écran. Mais bon, au diable l'avarice !
Over-blog a décidé de désormais émailler nos blogs de placards publicitaires. Je ne conteste évidemment pas sa décision. Il faut bien vivre, s'pas ! Mais, je ne supporte pas. Je n'ai pas du tout envie d'être transformé en homme-sandwich. Aussi, je m'en vais. Si vous le voulez bien, vous me trouverez à l'adresse suivante :
Le missile lancé était-il ukrainien ou séparatiste pro-russe ? Va savoir ! En attendant, il a tué 298 personnes. Excusez du peu. On est bien obligé de le constater, l'homme n'a pas changé, il est toujours le même, sauvage et violentL L'Histoire est jonchée des cadavres qu'il a semés ici et là, partout, sans jamais s'arrêter. Aujourd'hui de même. Voyez les infos. Je me faisais cette amère réflexion, cet après-midi encore, en lisant un bouquin de Jonathan Kellerman, lequel faisait dire à l'un de ses personnages : "Avez-vous réfléchi à ce qu'est l'Histoire ? C'est la mise en catalogue de tout ce qui est échecs, injustices, meurtres, sanglantes cruautés. L'être humain est bas. Que pourrait-il y avoir de mieux pour venir au secours de l'athéisme que les crimes de cet homme vil, censément créé à l'image de Dieu ? Ou alors, oui, il y a effectivement un dieu maître de tout, mais qui serait alors un crétin parfaitement incompétent. Bon, et maintenant, si vous le voulez bien, laissez-moi tranquille. Tranquille, vous comprenez ?" C'est vrai, on est tenté de laiser tomber, face à l'inanité des efforts des hommes de bonne volonté travaillant pour la paix. On voudrait bien être optimiste, mais ...
Nos Bleus se voyaient beaux comme des camions et pas très loin de gagner le trophée. Hier, il leur a fallu déchanter. Vaincus, ils vont devoir faire leurs valises. Ouf, enfin ! Bien que footeux dans l'âme (j'ai longtemps foulé les terrains), je commençais à me fatiguer de la surmédiatisation de cet évènement international qu'est la Coupe du Monde. On va enfin pouvoir revivre hors du ballon rond. Bien sûr, la compétition continue. Mais la télé et les journaux vont arrêter d'en faire des tonnes à son propos. Bon, on ne va pas dételer pour autant. Ce jour, débute une autre compétition de haute volée, le vélo ! Le Tour de France part aujourd'hui. De Londres ! Of course ! On vient de bouffer du ballon à haute dose. On va se farcir du vélo jusqu'à plus soif. Bah ! Pendant qu'on participe à tout ce cirque, on ne parle pas d'autre chose. C'est toujours ça de gagné ! ...
Pour rien au monde, je ne souhaiterais voir revenir Sarkozy aux responsabilités. Cinq longues années d'arrogance et d'incapacité (cf les 600 milliards de dettes supplémentaires accumulées sous son mandat), ça suffit largement ! Mais on sent le bonhomme impatient de reprendre les armes. Il meurt visiblement d'envie de se voir de nouveau confier les rennes en 2017. Aussi s'énerve-t-il de se voir sans cesse alpaguer par la justice. Il est vrai que cela fait un peu désordre dans le paysage ! Est-il coupable de tout ce qu'on lui reproche ? Je ne prendrai pas parti. Laissons, comme on dit, la justice faire son travail. Oui, mais voilà - et j'avoue que cela m'embête un peu - les juges auxquels on a confié sa dernière affaire ne donnent pas toutes les garanties de l'impartialité voulue. On peut en douter, en effet, si on sait qu'ils ont été, dans le passé, ses détracteurs politiques. Je pense qu'il aurait été mieux ici de faire appel à des gens totalement neutres. Mais, c'est comme au foot. Trouver un arbitre parfaitement objectif, c'est coton !
Je ne suis pas trop sensible au comique de Laurent Ruquier. Il ne l'est peut-être pas, mais je le trouve un quart de poil suffisant. Et son recours au second degré me paraît un peu trop systématique. Aussi, quand je le vois apparaître sur mon écran, je zappe. L'autre jour, cependnt, il m'a arrêté un moment. Il ne faisait pas dans l'humour, cette fois, mais évoquait sa vie personnelle et sa manière de vivre. On lui a, bien sûr, c'est la mode, demandé ce qu'il gagnait. Il s'est un peu dérobé, ne donnant aucun chiffre, mais a tout de même admis qu'il émargeait chez les privilégiés et qu'il gagnait très largement sa vie. Ceci étant, il a précisé qu'il faisait partie de ceux qui refusent de s'expatrier pour payer moins d'impôts. "A quoi bon thésauriser, a-t-il dit en substance. Je donne la moitié de mon salaire au fisc, mais quand je regarde ce qu'il reste, je me dis que ça fait toujours beaucoup. Je ne comprends pas qu'on veuille à tout prix se faire des montagnes et des montagnes de fric. Que veulent-ils donc ces gens-là ? Se faire des chiottes en or ?" Je me demande si, finalement, je ne vais pas commencer à trouver le bonhomme sympathique ..
Ben, c'est vrai, il y a con et con. Vous l'avez vous même sans doute remarqué. Il y a, par exemple, les pauvres cons et les gros cons. Le tueur de cons du bouquin de Carl Aderhold l'a ausi perçu et entrepris, en marge de ses actions mortifères, d'étudier la question. Avec son ami, le commissaire du lieu, un con fini, aveugle comme une taupe, mais intrigué par l'hécatombe des cons qui tombent dans sa circonférence. "Nous décidâmes, pour plus de justesse et par souci de précision d'instaurer des degrés dans les niveaux de connerie, entre celui dont c'est héréditaire (le con génital), celui qui reste égal à lui-même quelle que soit la situation (le con stable), celui qui bat tous les records (le con sidérant ou le con primé) et enfin celui qui est guéri (le con vaincu)." Pas con, comme raisonnement, vous ne trouvez pas ?
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