Le blog de florentin

Over-blog ne nous facilite pas la tâche ! On a toujours peur qu'il se mette en maintenance ou qu'il cherche à "améliorer" les choses, car, souvent, il provoque chez ses ouailles des difficultés supplémentaires à mettre leur blog en oeuvre. Malchance ? Je ne sais. Je ne pense évidemment pas qu'il cherche à nous mettre des bâtons dans les roues. Je crois même qu'il fait montre de la plus grande des bonnes volontés. Mais ... Dernier avatar : nos références (pseudo, adresse mail, nom du site) normalement retenues dans le cadre "ajouter un commentaire" ne peuvent plus être mémorisées. Autrement dit, chaque fois qu'on veut envoyer un com il faut les réécrire. C'est long ! Je ne me sens pas le courage de le faire. Mon temps n'est hélas pas élastique. Pardonnez-moi si je me mets en grève de coms. J'espère que ce problème va être rapidement résolu. Il y a des moments où j'ai la tentation d'aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte...  PS : Ceci étant, je n'oublie pas qu'Over-blog m'accueille gratuitement sur sa plate-forme. Ce dont je le remercie.   

- Je veux pas faire des gosses pour pas les ajouter à ce monde pourri ...
- Droits de l'homme ? On n'est même pas capables de prendre un noir en stop.
- Derrière le Loto, t'as pas un miracle de l'Eglise qui tient le coup.
- Pour voir une petite fille en Chine, faut creuser avec une pelle.
- Depuis son accident, il est pas sorti du coma, en tout cas pas quand on est là.
- C'est quand même grâce au racisme qu'on est blancs !
- La radio, vous savez, quand j'épluche les patates, j'écoute d'un oeil ...
- Pour se faire rembourser des suppositoire, faut pas être fière !
- Les vieux, plus ils perdent leurs neurones, plus ils cherchent leur porte-monnaie
- Mon fils et moi, on a la même mentalité, il fait cent six kilos.

Toile de JB.Reiter, peintre autrichien (1813 - 1890)

Dans le lit vaste et dévasté

J'ouvre les yeux près d'elle ;

Je l'effleure : un songe infidèle

L'embrasse à mon côté.

Une lueur tranchante et mince

Echancre mon plafond,

Très loin , sur le pavé profond

J'entends un seau qui grince.

Paul-Jean Toulet (1867 - 1920)

Le galant homme !

On a supposé, avec beaucoup de vilenie, que DSK avait fait violence à la femme de chambre qui avait charge de nettoyer sa suite sofitélienne. Voyez comme les gens sont méchants ! Que nenni ! DSK, qu'on se le dise, est un homme galant. Il ne voulait que rendre hommage à la dame en question. Vous ne me croyez pas ? Peut-être ferez vous plus confiance à Tristan Bernard (1866-1947), un connaisseur éclairé du commerce amoureux. Voilà ce qu'il disait : "Ce qu'il y a de commode avec les honnêtes femmes, c'est qu'il est bien convenu qu'elles ne doivent pas vous céder tout de suite. Or, la plupart du temps, ce qui nous oblige à précipiter les choses, ce n'est pas la fougue de nos désirs, mais plutôt la crainte de mécontenter les dames en ne marquant pas assez d'impatience." Alors, vous êtes convaincu ? Non ? Euh ... vous avez peut-être raison ... Sûrement même ...

Je vous disais hier mon hésitation à engager les travaux que ma douce voudrait me voir entreprendre. Après tout, ma chambre à coucher n'est pas si tarte que ça. J'aime bien son côté cossu et confortable à l'ancienne. Et puis, je suis tellement maladroit ! Tenez, je suis allé voir un copain bricoleur pour évoquer avec lui le problème. Je crois bien que, si la chose se faisait malgré tout, je ne pourrais pas compter sur lui. Regardez dans quel pauvre état l'a rendu le bricolage. Je sens chez lui comme du découragement, voyez-vous...